| | Réflexion sur la souffrance | |
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Richard C modérateur
Nombre de messages : 204 Age : 73 intérêt : Spiritualité Date d'inscription : 16/07/2006
| Sujet: Réflexion sur la souffrance Mer 7 Mar 2007 - 0:27 | |
| Je vous transfert un message car nos amis Éric et Claire ne pouvaient eux mêmes le faire.============= Cher Richard, je vous envoie une réflexion sur un temoignage de vie d'un membre de notre fraternité.Vous pouvez le partager au autres.Eric et Claire Salmine ofs, Ile Maurice Paix et Joie de Jesus, Amour de notre Père ORDRE FRANCISCAIN SECULIER REPUBLIC DE L’ILE MAURICE. Réflexion sur la souffrance.
Pendant ce temps de carême, nombreux sont ceux qui, de bonne foi, font des sacrifices divers comme ‘promesse’. Certains font des pèlerinages dans quatorze églises, d’autres se déplacent pieds nus, d’autres avancent à genoux du portail de l’église à l’autel les deux bras en croix tenant des bougies allumées, ou gravir les marches de la grande croix à genoux à midi. Est-ce pour louer Dieu ou pour obtenir de lui des faveurs ?
Est-ce que Dieu nous demande de faire ces exercices (dits ‘de piété / pénitence) ou de pratiquer des sacrifices ? Que fait-on alors du sacrifice de Jésus sur la Croix ? Doit-on s’imposer des souffrances supplémentaires ou accueillir avec foi les épreuves que nous rencontrons dans la vie de tous les jours ?
Le récit de l’accident de Luc Naïgon de la Fraternité Franciscaine de Berthaud, suivi de sa propre réflexion, nous donne à réfléchir.
Le calendrier indique 20 octobre 2000 et la pendule 22.00 heures. A l’intérieur de l’usine sucrier de Highlands, les machines tournent dans un bruit assourdissant. La chaleur est intense. Luc a soif. Il quitte sa place pour prendre sa bouteille de jus dans son sac placé dans un endroit non éclairé où passe un convoyeur (tapis roulant).Il glisse sur le sol taché de graisse .Sa main droite s’appuie par réflexe sur le convoyeur en marche. C’est un accident classique de travail.
Dans un clin d’œil sa main est happée par la machinerie ; les doigts en premier, puis l’avant bras et ensuite le coude. Impuissant il crie au secours de toutes ses forces et tire en même temps sur son bras broyé. Tout se passe très vite. Un employé arrête le convoyeur, mais hélas trop tard. Le bras est déjà sorti de l’épaule, retenu seulement par un bout de chair. La pièce est baignée de sang. Luc tient bon. Afin de le libérer du convoyeur il permet à un autre collègue d’utiliser une scie à métaux pour couper la chair qui retient son bras broyé .
Toujours lucide, son bras tout ensanglanté posé sur lui, Luc est transporté d’urgence à l’hôpital Candos. Cette scène d’horreur à la Frankenstein attire à la fois curieux et sympathisants. La réalité dépasse la fiction. Les commentaires vont bon train : ‘s’il ne meurt pas au bout de son sang ou sous l’emprise de la douleur il fera un long séjour à l’hôpital avec des séquelles.’
Rarement on a vu un homme avec autant de courage. Médecins et infirmiers n’en reviennent pas. Luc console ses nombreux visiteurs. Suzette, sa femme et ses deux enfants sont abattus. Lui, homme de prière et de grande foi remercie le Seigneur de lui avoir épargné la vie. ‘Une main c’est quoi quand on a la vie et tout son esprit !’ dit-il.
L’expérience de la douleur ne l’éloigne pas de Dieu, au contraire, il comprend mieux la souffrance physique du Christ. Il remercie Dieu de Lui avoir donné la vie sauve et ceux qui l’ont aidé à sauver sa vie.
Le dolorisme n’est pas chrétien Luc accueille sa souffrance et veut être le témoin du Christ.
Dans un de ses partages, sans triomphalisme mais très humblement, il fait cette réflexion : « Jésus m’a donné son Amour et sa Vie, Moi je lui offre ma foi et ma souffrance. Le Christ est avec moi, Il est mon tout. Ma force ne vient pas de moi, mais de L’Esprit Saint. Seigneur tout t’appartient Même ma main fantôme. Que veux-tu que je fasse ? Qu’elle mission veux-tu me confier ? Je suis prêt à témoigner de Toi. »
Dans la matinée du jeudi 6 mars 2006, le téléphone sonne. Luc apprend qu’il venait de perdre ce qui fut sa main droite et sa main gauche. Suzette, sa femme, vient de mourir à l’hôpital Candos suite à une thrombose coronaire, après cinq jours de maladie.
Il est désolé mais se confie au Seigneur : « Mon Dieu et mon tout Que Ta volonté soit faite. » | |
| | | Mireille À plein rendement
Nombre de messages : 115 Age : 67 Loisir : Marche, lecture, écriture intérêt : Les relations humaines, l'amitié, la VIE Date d'inscription : 08/09/2006
| Sujet: Ce qui me touche et ce qui me dérange. Lun 12 Mar 2007 - 17:47 | |
| Chers Amis, J'ai lu ce témoignage bouleversant. Je suis touchée, bien sûr. Mais quelque chose me chiffonne dans cette réflexion sur la souffrance. D'abord cet homme, Luc, dit que Jésus est son Amour et sa Vie. Cela me réjouit. C'est bien. Puis il ajoute qu'il lui offre… sa souffrance. Là, je ne suis pas d'accord. J'ai beaucoup de peine à entendre ces mots. Et il m'est depuis longtemps impossible de les prendre à mon compte. Il m'est inconcevable d'offrir à Jésus, censé être mon ami, quelque chose de mal ! Car la souffrance est un mal en soi. Parfois une torture, parfois une odieuse compagne ! Et donc, je ne peux l'offrir à mon ami. Je peux l'inviter à m'accompagner dans la souffrance. Je peux lui offrir mon courage et ma bravoure face à la souffrance. Ma patience. Mon silence. Mais pas ma souffrance. Pour ma part, je lui offre sans réserve ma joie, ma tendresse, mes éclats de rire. Mes réclamations aussi, quand la vie me maltraite. Mais jamais ma souffrance. Je pense qu'il en a eu son lot, de Pilate à la croix ! Pas la peine d'en rajouter. Jésus dit : "Venez à moi vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi je vous donnerai le repos. Prenez sur vous mon joug (…) Oui, mon joug est facile à porter et mon fardeau léger." (Mt 11,28) Quel est ce fardeau léger dont parle Jésus ? Quel est ce joug qui allégera le poids de mon fardeau ? Ne serait-ce pas, à l'image du joug qui sert à l'attelage, une "manière de porter" ? Une manière de supporter ? Jésus aurait pu dire aussi : "Portez tout avec amour, et tout sera plus léger." Une souffrance trempée dans l'amour, arrosée d'amour, diluée dans l'amour, lavée dans l'amour est forcément plus légère, parce que partagée. C'est ainsi que je comprends le rôle de la foi dans la souffrance. Amitiés. Mireille PS : ce message a été confié à la Poste interstellaire de... Paris (France) ! | |
| | | Richard C modérateur
Nombre de messages : 204 Age : 73 intérêt : Spiritualité Date d'inscription : 16/07/2006
| Sujet: Et si Luc pouvait nous donner sa version ? Mar 13 Mar 2007 - 0:04 | |
| - Code:
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"Luc a dit"« Jésus m’a donné son Amour et sa Vie, Moi je lui offre ma foi et ma souffrance.
Bonjour Mireille et très heureux de te retrouver , je suis d'accord avec toi dans l'explication que tu donnes, mais peut-être que "Luc" a une autre compréhension de ce qu'il énonce, si Éric et Claire voulaient bien l'interroger là dessus tout en lui disant que nous respecterons sa définition. Chacun peut avoir sont idée propre... ne sommes-nous pas tous en cheminement Paix et joie, Richard | |
| | | Éric modérateur
Nombre de messages : 114 Age : 57 Loisir : Écrire, lire, vélo et voyage intérêt : Tout, sauf les chars pis le baseball! :) Date d'inscription : 11/08/2006
| Sujet: Re: Réflexion sur la souffrance Mar 13 Mar 2007 - 8:29 | |
| Une vie sans souffrance n’est pas une vie.Ne pas souffrir, c’est ne pas ressentiret ne pas ressentir, n’est pas humain. Souffrir la perte d’un être cher…Pleurer un départ…Rire à en avoir mal aux côtes…S’indigner d’une injustice…Se rendre coupable de la faute d’un autre…Sont autant d’actes qui entraînent la souffranceet que pourtant nous sommes prêts à supporter. Mais vous me direz : « Et la maladie? »En ces moments, la souffrance nous cloue sur placeet nous offre un temps de vie plus intense.Chaque détail prend alors de l’importance,tous les petits gestes sont appréciéset ces moments deviennent privilégiéspuisqu’ils nous permettent de relativiserdes choix qui nous semblaient si importants.Même si cette souffrance conduit jusqu'à la mort,ces instants nous permettront de vivre pleinement notre humanitéque nous oublions trop souvent autrement. Souffrir n’est pas un plaisir,mais l’humain qui accepte sa souffrancese reconnaît sensible à la réalité, à la Vie,et y prend pleinement part en toute liberté.S’insensibiliser, nous coupe du Vivantet nous éloigne de notre vraie nature qui est d’aimer. Pour servir son prochain et pour vivre pleinement,l’être libre saura affronter la souffrancepuisque au-delà de celle-ci,il se sait servir la Vie. Éric Laliberté | |
| | | Eric et Claire Prend son envol
Nombre de messages : 3 Age : 57 intérêt : Partager Date d'inscription : 10/02/2007
| Sujet: Re: Réflexion sur la souffrance Mar 13 Mar 2007 - 13:20 | |
| Bonjour, Luc nous a expliqué que de par sa foi, il accepte cette soufrance et quand il a dit ( je lui offre ma souffrance ), il veut dire: Jesus toi qui a souffert et mort sur la croix, tu me donne le courage de porter aussi ma propre croix.
C'est un vrai temoignage que Luc a fait en creole Mauricien et le traduire en Francais transforme quelques mots.
Luc traverse des moments tres difficile en ce moment Je vous demande de prier pour lui.
Eric et Claire Ile Maurice | |
| | | Richard C modérateur
Nombre de messages : 204 Age : 73 intérêt : Spiritualité Date d'inscription : 16/07/2006
| Sujet: Re: Réflexion sur la souffrance Mar 13 Mar 2007 - 14:55 | |
| - Eric et Claire a écrit:
- Bonjour, Luc nous a expliqué que de par sa foi, il accepte cette soufrance et quand il a dit ( je lui offre ma souffrance ), il veut dire: Jesus toi qui a souffert et mort sur la croix, tu me donne le courage de porter aussi ma propre croix. (...)
Eric et Claire Ile Maurice Merci, pour nous avoir retransmis ce commentaire, et je suis personnellement en accord. Je porterai Luc dans mon humble prière. Paix et joie, Richard | |
| | | Mireille À plein rendement
Nombre de messages : 115 Age : 67 Loisir : Marche, lecture, écriture intérêt : Les relations humaines, l'amitié, la VIE Date d'inscription : 08/09/2006
| Sujet: Je me suis peut-être mal exprimée ? Mar 13 Mar 2007 - 16:57 | |
| Chers Amis, Souffrir... et faire souffrir ! Notre lot quotidien. Je demande humblement pardon. C'est tellement périlleux de prendre la parole. Et de laisser parler ses sentiments. Pardon parce que je ne voulais pas juger ni blesser Luc, et encore moins Eric et Claire qui rapportaient son histoire. Je m' attaquais seulement à une "formulation". A cause d'un vécu lourd de mauvaises formulations, justement. Du genre "c'est Dieu qui t'a puni" ou "c'est salutaire de souffrir" ou "offrez vos souffrances à Dieu"… J'ai été trop marquée par ces sentences qui me révoltaient et dans lesquelles je ne pouvais pas lire l'infinie tendresse de Dieu. Aujourd'hui j'ai révolutionné mon "vocabulaire de la foi" et je me sens beaucoup plus en accord avec ce que je vis, et avec le Dieu auquel je crois. Je sais, cher ami Eric Laliberté, que la souffrance est incontournable. Qu'aucune vie n'en est exempte. Qu'il est donc préférable d'en accepter la réalité. Et je suis d'accord que la souffrance est parfois un tremplin vers plus de vie, plus de compréhension, plus d'attention… Je suis d'accord aussi que, de la souffrance, peuvent naître des sentiments plus fraternels, plus justes, plus humbles… Je voulais simplement dire que… qu'on ne devrait pas dire : "j'offre mes souffrances". Pardon encore d'avoir manqué de douceur et de compréhension. Et merci Richard d'avoir si bien relativisé mon "explication". Je reconnais bien là ton infinie délicatesse dans l'accueil de tous et de chacun. Mireille Commentaire de la postière... la précédente contribution de Mireille n'était pas de nature à blesser, me semble-t-il... tout au plus lui manquait-il, peut-être, un propos explicatif façon préambule... et les réactions des lecteurs auront permis de clarifier la pensée de l'auteur, c'est bien ainsi. Ouais, je sais, elle se croit tout permis, cette postière qui a le toupet de lire le courrier qu'elle livre à domicile ! Amitiés. Véro | |
| | | Véronique À plein rendement
Nombre de messages : 120 Age : 70 Loisir : musique classique, écriture, amitiés, cuisine intérêt : sciences humaines (psy surtout), philosophie, littérature Date d'inscription : 05/09/2006
| Sujet: Quelques mots agnostiques sur la souffrance. Mer 14 Mar 2007 - 21:26 | |
| Chers Amis, Cette fois-ci, ce n'est pas la postière qui s'exprime... C'est moi, Véronique. L'agnostique rompue à la souffrance. Depuis longtemps. Mais les petites souffrances accumulées dans mes tranches de vie, telles les couches de pâte et de crème qui se superposent dans un millefeuille, me sont apparues, un jour, comme seulement destinées à me préparer à LA souffrance, celle dont on pourrait bien ne pas se remettre, celle qui pourrait bien être la dernière. Alors, oui, la souffrance, j'en connais un rayon, un "sacré rayon". Je ne l'ai jamais "offerte à Dieu", et pour cause. Et je n'ai pas la moindre envie de la Lui offrir, à supposer que je Le rencontre un jour, yeux dans les yeux. Là est sans doute mon enfer, penserez-vous. La souffrance ? Je l'ai encaissée, endurée, avalée, vomie, hurlée, tue, surmontée, sublimée. Je me suis cabrée et j'ai regimbé contre ses coups de fouet et ses coups de poignard. Je l'ai circonvenue. J'ai rusé et minaudé avec elle, je lui ai servi d'hypocrites grâces, histoire de la réduire au silence. Je lui ai cassé la gueule (oui, la souffrance n'a pas une "figure", elle a une gueule). Je l'ai détestée et je l'ai combattue. Loyalement et traîtreusement. Courageusement et lâchement. Héroïquement et misérablement. Vigoureusement et faiblement. Je l'ai considérée et respectée. Et parfois, devant elle, je me suis inclinée. Chapeau bas, Madame Souffrance, vous êtes très forte. Un sort que je ne vous envie pas. Car je préfère ma vulnérabilité à votre puissance. Et puis moi aussi, je suis forte, ne vous en déplaise. La souffrance ? Ma pire ennemie. Ma meilleure amie. Ô souffance, je te hais et je te méprise. Ô souffrance, je t'adore et je t'estime. Quand tu te crois supérieure, je te domine. Quand je te crois inférieure, tu m'assassines. "Sois sage ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille". La souffrance ? Une immonde saleté. Une belle chance. C'est selon. Mais qu'il soit bien clair que nous ne sommes pas égaux devant elle. Il y a celles et ceux que la souffrance stimule, galvanise, fait rebondir, enrage et, pour tout dire, "sauve". Il y a aussi celles et ceux que la souffrance décourage, affaiblit, inhibe, casse et, pour tout dire, "tue". Et Dieu dans tout cela ? Qui peut prétendre connaître la réponse ? PERSONNE. Moderato cantabile... La foi chrétienne aime les mystères ? La souffrance devrait alors être considérée comme un mystère. Gardez-vous d'avoir des opinions sur elle. Quelles qu'elles soient, vos certitudes à ce sujet sont aussi fragiles qu'un fétu de paille. Amitiés. Véronique
Dernière édition par le Dim 18 Mar 2007 - 11:25, édité 1 fois | |
| | | Serviteur des serviteurs
Nombre de messages : 478 Age : 73 Loisir : marche, lecture intérêt : spiritualité, dével. social, animation, et autre Date d'inscription : 14/07/2006
| Sujet: Re: Réflexion sur la souffrance Jeu 15 Mar 2007 - 10:37 | |
| - Mireille a écrit:
- Chers Amis,
Souffrir... et faire souffrir ! Notre lot quotidien. Je demande humblement pardon. C'est tellement périlleux de prendre la parole. Et de laisser parler ses sentiments. Pardon parce que je ne voulais pas juger ni blesser Luc, et encore moins Eric et Claire qui rapportaient son histoire. Je m' attaquais seulement à une "formulation". A cause d'un vécu lourd de mauvaises formulations, justement. (...)
Bonjour Mireille, merci pour cette autre beau commentaire, et je crois comprendre que tu avais bien comprise mon questionnement? Je ne questionnais pas ta manière de comprendre la souffrance car j'étais en accord avec toi, mais de vérifier ce que Luc disait et croyait pour lui-même? Le sujet n'est pas facile et "Véronique" viens justement dans remettre . Paix et joie, Richard | |
| | | Véronique À plein rendement
Nombre de messages : 120 Age : 70 Loisir : musique classique, écriture, amitiés, cuisine intérêt : sciences humaines (psy surtout), philosophie, littérature Date d'inscription : 05/09/2006
| Sujet: La souffrance. Ven 16 Mar 2007 - 20:52 | |
| Chers Amis, J'espère n'avoir heurté personne avec ma réflexion rugueuse et brutale sur la souffrance. Car tel n'était certes pas mon propos. Un propos que je n'ai pas prémédité et que j'ai écrit d'un seul jet. Mais dans un souci de clarté, je préciserai ici que, sur ce sujet plus que sur tout autre, je ne saurais choisir un registre "transactionnel". Cette "ennemie amoureuse" qu'est la souffrance, je la connais trop bien. Ma relation avec elle est rugueuse et brutale. Et je ne triche pas, ni ici ni ailleurs. Je n'ai rien à dire sur la souffrance qui soit "humainement ou spirituellement correct". Mais j'ai beaucoup à dire sur la souffrance. Amitiés. Véronique | |
| | | papi À plein rendement
Nombre de messages : 80 Age : 83 Loisir : lecture, marche, informatique intérêt : spiritualité, fraternité Date d'inscription : 17/08/2006
| Sujet: Re: Réflexion sur la souffrance Ven 16 Mar 2007 - 22:17 | |
| Allô Véronique, Je, pour ma part, apprécie ton commentaire sur la souffrance même si elle ne me rejoint pas en tout. À ce jour j'ai été assez prévilégié sur ce point et ta réflexion m'aide à mieux comprendre ceux qui souffrent. Papi | |
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| Sujet: Re: Réflexion sur la souffrance | |
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